02 Déc L’Aura

Retour Chakras

L’aura éthérique 

Commençons par l’aura le plus dense, celle qui se situe dans la périphérie immédiate du corps matériel. L’usage veut qu’elle soit appelée aura éthérique ou encore aura vitale. Elle est effectivement le baromètre précis de la vitalité physique d’un corps. Les renseignements qu’elle nous fournis sont de nature purement fonctionnelle ou mécanique.

L’aura astrale ou émotionnelle

L’aura astrale ou émotionnelle, englobe le corps et la radiation précédente. Nous devons la considérer comme le miroir fidèle des reflets de son égo inférieur ou de sa personnalité. On comprend aisément pourquoi cette aura est particulièrement tumultueuse chez la majorité des humains ; les variations de tous ordres qui s’y lisent sont autant de tempêtes et de raz-de-marée auxquels la nature affective de l’être doit faire face.

L’aura mentale 

C’est l’aura qui rendra compte de ce niveau de l’existence d’un être. Cette aura est infiniment plus stable que la précédente. Elle est le témoin de l’activité intelligente de l’être, ses mécanismes de raisonnements et ses processus de mentalisation.

L’aura causale ou spirituel

Plus éloignée du corps physique. Son existence renvoie, du moins pour ceux qui en acceptent la réalité, à la notion de karma, c’est à dire à un bagage plus ou moins lourd, issu d’existences antérieures. Les autres verront peut-être dans ce terme l’énergie manifestée d’une sorte d’inconscient… Elle ne porte pas en elle l’énergie d’une fatalité mais qu’elle sous-entend plutôt le passage de l’individu par un certain nombre de portes ou points de repère jalonnant son avance.

L’aura de vitalité divine 

Il convient de reconnaître qu’il n’est guère possible d’être très bavard concernant ces radiances, ne serait-ce que pour la simple raison que la vie ne permet pas rencontrer fréquemment des hommes ou des femmes les ayant développées et se prêtant, de plus, à leur observation.

Extrait de : « Les robes de lumière » de Daniel Maurois et Anne Givaudan